Temps sacrés

Il existe des temps sacrés     

 

"Il existe des temps sacrés où le soleil brille si fort, en et autour de nous,

qu’arbres, forêts… la moindre parcelle d’herbe, la moindre particule de vie,

la moindre fleur nous chantent à l’unisson de l’Univers les pulsations

 

Partitions vives et enchanteresses qui nous charment, par leur simplicité, par leur intérieure beauté, du geste dépouillé que je t’offre en hommage

 

Déposé du bout des lèvres en partage

De toutes ces émotions connues, reconnues, renouvelées, à peine devinées tel le grain de ta peau que mes doigts dessinent en tendres arabesques

Tel le souffle de ta bouche qui me traverse de part en part

Au rythme de tes regards… au rythme de tes mots qui me bercent le Cœur et me transpercent de mille douceurs

 

Il existe des temps d’éternité où le temps ne court plus que pour admirer de ton essence la diaphane fragilité, la munificente luminosité…

 

Tu es Lumière de mes nuits et Soleil de mes jours

 

Je me nourris de toute cette paix intérieure, de cette harmonieuse chaleur

 

Je vibre à l’unisson de l’Univers que tes bras m’ouvrent au jour le jour

 

Je vibre en corps… et s’épanouissent mes sens en tous sens

 

S’illumine mon être le plus profond à la source même de ce Toi où s’irriguent mes racines

 

Il existe des temps sacrés…

 

Je les palpe de toute mon âme

 

Et t’offre ce présent écrit à l’encre sang, au calame de mon Cœur

 

 

If

Yves

"

 

 

 

Arts • Dernier ajout : 26 octobre 2007.

 

Une émotion telle à regarder Pollock

Un univers en construction En démonstration

Des lignes des traits des points Des jets qui fusent de rien de tout

Une souffrance telle Qui bloque et débloque

Les aspirations Vitales amenées Raréfiées sous l’alcool La destruction Qui l’essence décoiffe et décolle La création

Un désir Celui de lire D’écrire De relire les lignes de la main D’en deviner le sens L’absence D’une main

Une émotion telle Une pulsion brute

Et d’une toile repeindre le temps Qui passe et se ronge les sangs

Yves if

Je respire nos âmes

12 mai, par Yves Wauthier - Freymann

je respire nos âmes

en volutes de fumée

sur tes ailes

déposées

je respire tes yeux

et par tes sourires

j’y entrevois les Cieux

et dix mille autres lieux qui m’inspirent

je respire ton air

s’y ouvrent des parfums

qu’exhalent tout à la fin

ce qui m’amène à te plaire

je respire calmement

et mes pensées s’éloignent

de tous ces anciens tourments

là où nos coeurs se rejoignent

je respire et m’inspire

de tes rires

je respire en faim

et de toi de nous m’imprègne sans fin

if yves

retraite TAT (...)