NY

 

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NY-Bruxelles        "New York - Bruxelles

 

 

Onze jours de vie... Qu’est-ce dans les surplis de l’existence ?

A peine plus qu’un soubresaut, voire l’idée elle-même de ce remue-méninges...

Un saut de puce sur une langue de terre dont le surnom est « démence »...

Un frisson entre gratte-ciel, mendicité, vanité et beau linge...

 

 

Froid, grand froid du coeur et chaleur, grande chaleur transcendante...

Papillons éblouissants... Union de deux êtres...

Plus forts, plus proches, plus tendres tel le Hêtre...

Plus légers, voltigeurs du Soleil quittant l’Enfer de Dante...

 

 

Se comprennent-ils mieux ? Je le crois, l’espère et le désire...

S’aiment-ils mieux ? Serait-ce orgueil de le déclamer ?

Que nenni... Auprès de cette Reine j’y ai déposé ce titre de Sire...

Il ne représente rien d’autre que le royaume du coeur pour Elle réclamé...

 

 

Fleurs de trottoirs, pluies torrentielles, vies trépidantes...

Tout cela est pour la Reine,

Projecteurs, étincelles de Stars, Broadway et sa décadence...

Tout cela est pour la Reine...

 

 

Trésors cachés, Créateurs, stylistes, Bijoux et cuir...

Tout cela est pour la Reine,

Parcs et Musées, Zoo enchanteur, Foules curieuses ou à fuir,

Tout cela est pour la Reine...

 

 

Et moi - direz-vous ! - ? Je suis tout entier à cette Reine...

Car tout cela est pour la Reine...

La liberté ? elle ne pousse qu’en présence d’engrais épanouissants !

Laissez donc cela ! Regardez-moi ! en pleine jouissance du don d’un Etre époustouflant...

 

 

Viles flatteries ? Coeur aveugle ? Amour fou ?

Abandonnez vos illusions ! si folie devait exister elle ne serait que la sagesse du Fou...

Qui seul peut dire au Roi qu’il est Nu...

Innocence et pureté d’un sentiment mis à nu...

 

Tout cela est pour la Reine...

Je quitte l’arène...

Le Roi est mort ... Vive le Roi !

Et de cette renaissance qu’il réalise que sans Reine il n’est que Roi...

 

 

 

If Yves"

 

 

 

Je respire nos âmes

12 mai, par Yves Wauthier - Freymann

je respire nos âmes

en volutes de fumée

sur tes ailes

déposées

je respire tes yeux

et par tes sourires

j’y entrevois les Cieux

et dix mille autres lieux qui m’inspirent

je respire ton air

s’y ouvrent des parfums

qu’exhalent tout à la fin

ce qui m’amène à te plaire

je respire calmement

et mes pensées s’éloignent

de tous ces anciens tourments

là où nos coeurs se rejoignent

je respire et m’inspire

de tes rires

je respire en faim

et de toi de nous m’imprègne sans fin

if yves

retraite TAT (...)