L'âme nue

Un coin se déchirait lentement

 

 

"Un coin se déchirait lentement

De morte langue, babillage volage

D’une enfant, d’un égard partage

Tout pour rien, simplement amant

De tes rêves éclos

Le clos

D’une trêve close,

Forclose

 

Oubliée au son des tambours de guerre

Rythme abasourdis de tes yeux fiers

 Balance assourdie d’œillères

Qui crient, pleurent et ne meurent guère

 

 

 

Yves

If

 

 

 

 

 

Je respire nos âmes

12 mai, par Yves Wauthier - Freymann

je respire nos âmes

en volutes de fumée

sur tes ailes

déposées

je respire tes yeux

et par tes sourires

j’y entrevois les Cieux

et dix mille autres lieux qui m’inspirent

je respire ton air

s’y ouvrent des parfums

qu’exhalent tout à la fin

ce qui m’amène à te plaire

je respire calmement

et mes pensées s’éloignent

de tous ces anciens tourments

là où nos coeurs se rejoignent

je respire et m’inspire

de tes rires

je respire en faim

et de toi de nous m’imprègne sans fin

if yves

retraite TAT (...)