Jardins

Jennifer Van Haelen credit
Jennifer Van Haelen credit

Jardins        

 

"Jardins

 

 

Quelquefois si douce, quelquefois si dure...

Femme, je t’aime ! Pourtant suis-je mûr ?

 

Car si doux, si dur soit-il, il perdure

pour qui, pourquoi ? je fonce, fol inconscient, sur ce mur...

 

I lost control, I lost my control, j’y perd mon latin...

Et pourtant quelle joie chaque matin...

 

Joie de te respirer, plaisir de te caresser...

Frisson de te deviner et de te dévorer des yeux...

 

Oui, à l’aube aux doigts de rose je suis aux Cieux...

Et pourtant cela n’est rien que vent aride après t’avoir embrassé...

 

Blues et bleus au coeur de la nuit de mon âme...

Belle infirmière de mes sens je me pâme...

 

Pour n’espérer - ne fût-ce qu’un instant - Être...

Celui qui te fera de ton corps, de ton coeur, de tes désirs, Maître...

 

Je n’ose espérer de la clé de tes jardins secrets être le gardien...

Je n’ose espérer des labyrinthes chlorophylles être le jardinier...

 

Et de mes doigts, pétrir l’humus et la terre fertile de notre commun bien...

Et de ma chaleur te réchauffer afin que nul ne puisse nier...

 

Qu’il s’agit du plus beau jardin du monde, celui de nos Amours...

Personne n’y a accès, à peine le devinons-nous de toujours,...

 

C’est écrit, sur le bord d’un arc-en-ciel de lumière, de soleil et de pluie...

Tel le poète qui de son sang, de ses sens et de ses joies t’offre d’une plume la Vie...

 

 

 

If Yves"

 

 

 

Je respire nos âmes

12 mai, par Yves Wauthier - Freymann

je respire nos âmes

en volutes de fumée

sur tes ailes

déposées

je respire tes yeux

et par tes sourires

j’y entrevois les Cieux

et dix mille autres lieux qui m’inspirent

je respire ton air

s’y ouvrent des parfums

qu’exhalent tout à la fin

ce qui m’amène à te plaire

je respire calmement

et mes pensées s’éloignent

de tous ces anciens tourments

là où nos coeurs se rejoignent

je respire et m’inspire

de tes rires

je respire en faim

et de toi de nous m’imprègne sans fin

if yves

retraite TAT (...)