Une impression diffuse

"

Une impression diffuse  

 

"Une impression diffuse m’imprègne l’esprit le cœur les sens

Une chanson enfantine qui nous rappelle du bonheur l’essence

Celle des plaisirs simples, des sourires nés d’une présence

De ce sentiment étrange qui nous entoure de la beauté de l’enfance

 

Une ombre dans l’empreinte de mes pas, une réminiscence

Légère comme une plume de temps, compassée, confortée par aisance

Inscrite en bribes, en images, d’odeurs, de goûts, de saveurs, de transes

Sur lesquelles un rire s’emporte, éthéré, en une ritournelle danse

 

 

 

 

Je t’écris pas à pas  d’une œillade d’un trait de langue déposée

Ces pages révolues, révoltées… en volutes envolées

 

Une impression diffuse diffuse les secondes de ces lignes offertes au temps

Quoi qu’elles me goûtent ces secondes, quoiqu’elles m’en coûtent autant…

 

Un voile se tend sous le vent sous l’auvent

Une voile se déchire sous une rafale de temps

Et me ramène sous l’austère précipice où peu à peu tout glisse

Bonbons confitures, jeux souvenirs sourires et parfums de réglisse

 

Une impression diffuse

Une sensation confuse

M’étreint… M’étreint…

De cette voie où l’on se cherche Soi Je parcours les chemins

 

Une impression diffuse m’imprègne l’esprit le cœur les sens

Une chanson enfantine qui nous rappelle du bonheur l’essence

Celle des plaisirs simples, des sourires nés d’une présence

De ce sentiment étrange qui nous entoure de la beauté de l’enfance

 

 

If

 

Yves     

 

 

 

                           

Je respire nos âmes

12 mai, par Yves Wauthier - Freymann

je respire nos âmes

en volutes de fumée

sur tes ailes

déposées

je respire tes yeux

et par tes sourires

j’y entrevois les Cieux

et dix mille autres lieux qui m’inspirent

je respire ton air

s’y ouvrent des parfums

qu’exhalent tout à la fin

ce qui m’amène à te plaire

je respire calmement

et mes pensées s’éloignent

de tous ces anciens tourments

là où nos coeurs se rejoignent

je respire et m’inspire

de tes rires

je respire en faim

et de toi de nous m’imprègne sans fin

if yves

retraite TAT (...)